En un an, les cyberattaques ont augmenté de 48%, impactant en particulier le business des entreprises : 92% ont été attaqués une ou plusieurs fois. Si le ransomware reste l’attaque la plus fréquente (73%), les impacts sur le business progressent de 49% (indisponibilité du site, arrêt de la production…), selon la troisième édition du baromètre annuel CESIN avec OpinionWay. 

Connaître les risques, les pièges faciles et les enjeux de la cybersécurité sont des éléments devenus indispensables pour toute entreprise. Les bonnes pratiques s’apprennent auprès des collaborateurs et permettent de renforcer la sécurité de la société. 

Le point vulnérable des systèmes d’information est effectivement souvent l’humain. Des collaborateurs de plus en plus connectés, des utilisations d’équipement personnel au travail, les home office, ou encore les nouvelles modes de travail comme le co-working et les espaces de travail modernes. Les nouveaux usages des technologies sont de plus en plus répandus et le nomadisme des salariés engage des pertes de données de plus en plus fréquentes.

Des mails à n’en plus finir, des documents confidentiels en pièce jointe et des personnes externes à l’entreprise en copie. Difficile de faire un point sur les multiples échanges d’un collaborateur au sein de son entreprise. Parmi les principales attaques :

• virus
• spams
• phishing.

Les conséquences sont peuvent être désastreuses : 

• pertes financières
• atteinte à la réputation ou à l’image de l’entreprise
• performance. 

En réponse à ce phénomène de plus en plus récurrent, une solution ? Former l’ensemble des collaborateurs à la menace qui règne, et leur donner un moyen de s’en prémunir. Des formations sont ainsi mises en place pour régler ce problème. Elles accompagnent individuellement chaque entreprise à évoluer en toute sécurité et s’ajoutent aux nombreux outils de cyberdéfense. 

Prévention - Détection - Réaction : 3 étapes qui protègent l’entreprise et qui lui permettent d’être plus compétitive, d’éviter les attaques, d’avancer sans encombre. Et cela passe par la connaissance des risques informatiques, des attaques, de la sécurité, des bonnes pratiques, des reflex d’autodéfense et de la réglementation.